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Et si la gourmandise n'était plus un vilain défaut ?

13/04/2017

Et si la gourmandise n'était plus un vilain défaut ?

ET SI LA GOURMANDISE N’ÉTAIT PLUS UN VILAIN DÉFAUT ?

Considérée comme l’un des 7 péchés capitaux par la religion catholique, la gourmandise porte une connotation négative et un sentiment de culpabilité bien ancrés dans notre culture.

Dans le Groupe PVG, on considère plutôt la gourmandise comme une aptitude à apprécier la nourriture dans le raffinement, la raison et le plaisir.

Et quand en plus cette gourmandise est associée au chocolat on revendique que NON, résolument, elle n’est pas un défaut. Et on vous en apporte les preuves !

Rapidement, dans le désordre, on a pu lire que le chocolat (noir surtout…), c’était :
- Bon pour le cholestérol, le cerveau, les dents, le cœur,…
- Était une source importante d’antioxydants,
- Prédisposait à la bonne humeur
- Luttait contre le stress
- Et tellement plus encore...

Et pour vous convaincre que la gourmandise si elle devait rester un défaut en serait un très beau, nous avons laissé la parole à nos chefs pâtissiers, Adrien Tupin Bron (Impérial Palace à Annecy) et Vincent Deforce (Au Coeur du Village à La Clusaz).


 Quel est votre plus beau souvenir d’enfance lié à cette fête ?

Adrien Tupin-Bron (ATB) : Mon plus beau souvenir remonte à mes 6 ans, le dimanche matin et la chasse aux œufs avec ma sœur, mon frère et mes cousins chez mes grands-parents suivi du repas avec toute la grande famille.  

Vincent Deforce (VD) : La chasse aux œufs dans la ferme de mes grands-parents, des moments magiques en tant qu’enfant que l’on oublie jamais !

Quel a été votre inspiration cette année pour vos réalisations ?

ATB : A l’Impérial Palace, nous nous sommes inspirés de dessins animés pour chaque restaurant, Les Minions pour la Salle de l’Europe, L’ Age de glace pour La Brasserie, Alice au pays des merveilles pour La Voile et Peter Pan pour Le Riva.

VD : La couleur naturelle du cacao, le côté brut du chocolat et son parfum qui embaume toute la réception dès l’arrivée dans l’hôtel. Nous avons choisi de rester classique avec le traditionnel œuf de Pâques, nous rappeler notre environnement avec la représentation d’animaux de la forêt, Marmotte en tête et bien sûr les fleurs qui symbolisent le printemps

P
our vous, quel est le parfait mariage du chocolat ?

ATB
 : Les fruits rouges, c’est un classique que j’apprécie beaucoup.

VD : Le chocolat et le chocolat ! Il existe de nombreux grands crus et de mariages possibles, cela permet de jouer avec ses différents parfums qui sont finalement issus du même produit, et c’est cela qui est si fascinant.
Mais…le mariage kalamensi/chocolat au lait est vraiment quelque chose de très frais en fin de repas, sans perdre une note de gourmandise…

Votre préféré : chocolat noir, lait, blanc… ?

ATB : Sans conteste le chocolat noir.

VD : Le chocolat au lait prend le dessus sous sa forme première mais en dessert transformé, sans hésiter le chocolat noir type Manjari 64% avec sa note d’acidité, sa force cacaotée, une tuerie !

Quel conseil essentiel donneriez-vous pour bien choisir son chocolat de Pâques ?

ATB : Mon conseil serait de se laisser guider par des professionnels et surtout comprendre que les chocolatiers travaillent avec des produits haut de gamme sans graisse hydrogénée, ce qui n’est pas le cas des grosses usines. Chocolatier est un métier artisanal que les usines ne pourront jamais égaler.

VD : Peu de chocolatiers font leur propre chocolat, ils le transforment et le subliment.  Nombreux collaborent avec Valrhona qui est aussi notre partenaire et pour moi la référence en terme de chocolat de qualité. Comme tout artisan, ils sont chaque jour à la recherche de l’excellence.


Alors pour citer l’artiste et illustrateur de BD américain, John G. Tullius : « Neuf personnes sur dix aiment le chocolat ; la dixième ment »

Joyeuses Pâques et bonne dégustation !